jeudi 25 janvier 2018

Tristan

Encore un article pas super drôle. Faudrait vraiment que mes proches fassent de sérieux efforts et arrêtent de mourir, ça remplit ce blog de billets dont le fond est relativement tristounet.

Pour une fois, je ne vais pas écrire la chonique de ces dernières éprouvantes semaines, mais juste coller le discours prononcé au cours de l’enterrement de Tristan, mon frère, mon ami, mon maître. Un peu comme un backup quoi. Pour les lecteurs qui pousseront plus loin, je précise toutefois qu’une connaissance des principales chansons de Claude François (dont Tristan était un fan absolu) permet de mieux appréhender le dernier tiers du discours.

Ce blog étant censé être dédié à la réflexion et aux pensées profondes, en voici une, inspirée par son départ : tu ne sais pas que tu vieillis parce que tes cheveux blanchissent ou se clairsèment, ni parce que tes articulations te font mal. Non, tu sais que tu vieillis parce que tes proches commencent à tomber de plus en plus souvent.