Et bien.Il est clair que, ne serait-ce qu'un blog par an, c'est encore trop pour ma grande fainéantise procrastrinatrice écrivaine.
Pourtant, j'en ai eu des idées, hein, et plein, à foison, en veux-tu en voilà comme s'il en pleuvait. Mais la plupart étaient sombres, tristes, désabusées, pas drôles du tout, car tel était mon mood en 2021, en fait, si tu veux, préfère(1).
Cette année n'a pourtant pas été si pourrie que ça. Très difficile, pour sûr, mais avec des événements et des rencontres improbables et, hmmm, intéressantes. Mon dernier blog date d'un an. Une magnifique lettre à Karine Lacombe, également dédiée à ses collègues, qui nous ont informés sur l'évolution de la pandémie, en se prenant des tombereaux de merde répugnants, mensongers, diffamatoires, vomitifs, de la part des plus grands trous du cul de l'histoire de la science française et de leurs fans de l'extrême droite décomplexée, j’ai nommé Raoult, Perronne et autres malfaisants.